De nombreux micro-entrepreneurs du cercle de Barouéli n’ont pas accès à l’électricité. Le taux de raccordement y est de 25% et les problèmes d’approvisionnement multiples (coupures, montées en charge). Ce no man’s land énergétique laisse peu de place à un développement économique de la région. Les micro-entrepreneurs se retrouvent isolés, sans possibilités d’accroitre leurs activités.
La création d’une Zone d’Activités Electrifiée (ZAE) permettra d’offrir des services énergétiques partagés, d’optimiser les coûts et de favoriser une mise en relation des différents acteurs économiques (producteurs, transformateurs et institutions de microfinances).